Recourir à la thérapie est perçu encore souvent dans notre société comme un aveu d’impuissance à se gérer seul, à maîtriser ses émotions. Une sorte de faiblesse inavouable dont on a honte.
Savoir demander de l’aide psychologique,
Oser demander de l’aide,
Avouer son besoin d’aide, est compliqué dans une société occidentale comme la nôtre qui ne valorise que l’Ego, l’individualisme, la compétitivité et prône l’indépendance à tout prix. L’aspect positif d’une dépendance à autrui ne peut être envisagé et ses bienfaits ne sont pas valorisés.
A l’inverse, il peut exister une forme de snobisme à « consulter ». Si «tu ne vois pas quelqu’un », tu ne peux pas « être éveillé ».Car pour cela il est entendu qu’il faut suivre un maître (ou une maîtresse).
Quoi qu’il en soit, que vous soyez dans la tourmente, submergé par les rancoeurs, la culpabilité, ou simplement désireux de vous connaître davantage, pour vous aimer mieux, reconnaître et affirmer votre singularité, être plus aimant avec votre entourage, être désireux de découvrir, maintenir ou déployer une sexualité vivante et épanouie avec votre partenaire, prenez un temps pour vous offrir le meilleur pour vous-même !. Vous en avez le droit, vous en valez la peine !

Le lien aux autres

Pourquoi c’est si dur de dire ce que je pense vraiment ?

Où trouver ma place de femme dans ma vie de mère, ou ma place d’homme dans ma vie de père ?

Il paraît que j’ai une addiction aux réseaux sociaux ?!

Transgresser les interdits, c’est se sentir bien plus vivant !

L’inaccessible me fait atrocement souffrir !

Je ne sais pas dire quand je suis blessé(e). Il me faut du temps pour le reconnaître aussi car je fais toujours face.

En situation conflictuelle professionnelle ou avec mes proches, je perds presque systématiquement mes moyens. La colère l’emporte.

J’aimerais ne pas avoir à me battre pour prendre ma place, ne pas fuir non plus face à un obstacle ou être tétanisé(e) par la peur… mais je réagis souvent de la même manière.

Je condamne les autres souvent parce que j’ignore ce que j’ai à me pardonner.

Pardonner ?! Impossible… mes rancœurs sont très tenaces et je ne veux pas perdre la face.

J’aimerais bien que l’autre change…

Toi + Moi

Je ne me remets pas d’un chagrin d’amour

Je l’aime c’est certain, mais je ne le (la) désire plus !.

Je désire souvent, j’aime rarement.

Je tombe amoureux(se) très vite. C’est toujours un feu de paille !.

Mes relations ne durent pas plus de 3 ans.

J’éjacule, mais c’est quoi l’orgasme au juste ?.

En amour c’est ou trop long (ou trop court).

J’ai besoin de contrôler la situation alors je préfère ne pas avoir d’orgasme.

Il m’en faut toujours plus !.

Une relation au long cours c’est forcément monotone.

Seule la diversité, la nouveauté m’excite. Après je m’ennuie.

Le désir et l’excitation n’ont rien à voir avec l’amour.

En matière de sexe, je suis insatiable, mais tout va bien, mon cœur est à maman (ou papa).

Je suis addicte au « Pain Porn ». Sinon je ne ressens rien.

Le plaisir suppose le ressentir et le ressentir suppose le ralentir, dit-on. Mais si je ralentis c’est foutu, il ne se passe plus rien !.

Je préfère cacher mes défauts pour être aimé(e). Il sera bien temps que les autres s’en aperçoivent.

Je confonds résilience et abnégation (ou soumission) et je ne le sais pas.

« Les histoires d‘amour finissent mal, en général ! ».

En amour, il n’y a pas d’amour propre.

Où en suis-je ?

L’infiniment grand me donne le vertige. L’infiniment petit aussi.

Pourquoi y a t’il quelque chose au lieu de rien ?.

Que suis-je pour vivre ?

Que ne ferais-je pas pour avoir la paix ?.

Je m’ennuie à mourir, je n’ai de goût à rien en ce moment…

De toute façon on ne se change pas. Il faut faire avec.

Une thérapie pour quoi faire ? Tout va bien. Il sera bien temps d’y penser quand les choses iront mal.

Maintenant c’est foutu alors à quoi bon.

Qui suis-je en fin de compte ?.

Je me sens en porte à faux entre ma vie de famille et ce que j’aimerais être.

Je suis en déconstruction.

J’ai l’impression de vivre à la périphérie de mon corps. Je veux donner un sens plus profond à ma vie.

Comment ne pas confondre mon corps avec la vérité de mon Être ?

Je reviens de nulle-part et ne sais où aller.

L’angoisse climatique me gagne et je ne sais pas comment faire avec, ou m’en défaire !

« La vie, vue de loin est une comédie, vue de près, c’est une tragédie ».

Je veux retrouver la joie de vivre et la légèreté d’être de mon enfance.

J’aimerais apprendre à aimer mieux

en-metamorphose

Laurence Lalin

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